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Guillaume Lelarge est un contributeur majeur de PostgreSQL. Il dirige la traduction du manuel officiel, et maintient différents outils pour PostgreSQL. Il est un contributeur régulier des revues GNU/Linux Magazine France et Linux Pratique, ainsi que l'auteur du livre "PostgreSQL, Architecture et notions avancées", aux éditions D-BooKer.
En parallèle, Guillaume travaille depuis plus de treize ans en tant que consultant chez Dalibo.
Cet article a pour but de faire le tour des solutions de sauvegarde proposées par les développeurs de PostgreSQL, et d'expliquer leur fonctionnement et leurs fonctionnalités, plutôt que leur utilisation.
Comme toute application serveur, PostgreSQL enregistre des traces sur les erreurs rencontrées, ainsi que sur son activité. Même si elles sont très compréhensibles, une grosse quantité de traces peut nous perdre dans leur masse. Il est préférable dans ce cas de s’aider d’un outil. Parmi ces outils se trouve pgBadger.
Depuis la version 10, toutes les versions qui ont suivi se sont contentées de petites améliorations de la version précédente. Il n'y a pas eu de fonctionnalités majeures ajoutées, et c'est plutôt une bonne chose. Cela permet de stabiliser le code, et d'améliorer, tranquillement, par petits ajouts, les fonctionnalités déjà présentes.
Stocker des données dans une base PostgreSQL est assez simple : un CREATE TABLE, et c’est parti pour les insertions. Cependant, même si un CREATE TABLE semble assez simple, réfléchir à la construction de cet ordre SQL est important. Le type des données et l’ordre des colonnes jouent un rôle important sur la volumétrie de la table, et donc sur ses performances.
Débuter avec PostgreSQL est souvent effrayant. Cependant, l'installation est elle-même simple. Il est possible d'obtenir une configuration plus avancée rapidement. Et les premiers pas peuvent être aisés en suivant quelques conseils. Nous allons donc voir tous ces points.
Un besoin souvent remonté des utilisateurs est de disposer d’un serveur très rapidement opérationnel quand le serveur en production est tombé. Restaurer une sauvegarde prend souvent du temps et même si ce temps ne semble pas très important, il est parfois crucial de pouvoir restaurer le service en quelques minutes, voire secondes. La réplication répond à ce besoin.
Le 24 septembre 2020 est sortie la version 13 de PostgreSQL. Elle comprend de nombreuses nouvelles fonctionnalités. Certaines ont pour cible les utilisateurs et développeurs, d’autres sont pour les administrateurs. La première version corrective de cette branche, la 13.1, est sortie le 12 novembre et cela nous semble une bonne occasion de regarder en profondeur certaines de ces nouveautés.
La version 11 de PostgreSQL est sortie le 18 octobre. Une première version corrective est déjà sortie et la seconde est prévue pour le 14 février 2019. Cette nouvelle version est principalement une version 10 améliorée : rien de bien révolutionnaire, mais de nouvelles fonctionnalités qui aident bien.
Depuis la version 9.0, les développeurs de PostgreSQL améliorent sans cesse la réplication interne. Cette version ne fait pas exception, et continue à proposer de nouvelles options sur la réplication physique. Elle ajoute aussi un type de réplication attendu depuis longtemps, la réplication logique.