Avant que le système dont nous allons parler soit ajouté dans Linux (et je parle ici du noyau), disposer d'une led témoin d'une activité quelconque n'était pas une mince affaire. Il fallait soit écrire un module noyau, soit un programme utilisateur se chargeant de changer l'état de la, ou des leds. Ce n'était pas une mince affaire et cela demandait pas mal de connaissances et d'expérience. Puis fut introduit, avec la version 3.4 du noyau, le support pour la classe de périphériques LED permettant une prise en charge de ce genre de fonctionnalités directement par le noyau, mais de façon configurable par l'utilisateur.
Bon nombre de plateformes utilisent à présent ce mécanisme pour toutes sortes de choses, les Raspberry Pi bien sûr pour les leds verte et rouge placées sur la carte elle-même (verte uniquement pour la Pi 3), bien d'autres nano-ordinateurs monocartes et même les ordinateurs de type PC, portables ou non. De plus, certains matériels exposent également ce type de…
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