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N'importe quelle occurrence de la commande « sudo make install » me rappelle d'horribles souvenirs de mes débuts sous GNU/Linux, il y a de très nombreuses années (1995). Peupler ainsi manuellement son /usr/local de fichiers, programmes et bibliothèques est une recette parfaite pour une catastrophe et des conflits en tous genres. Mieux vaut suivre la voie dictée par la distribution et son système de gestion de paquets. Voyons cela en pratique avec l'OpenOCD modifié par la fondation Raspberry Pi et, en prime, découvrons une excellente alternative à l'utilisation d'UF2 ou Picotool.
Dans cet article, on se propose de découvrir une autre méthode de validation d’un composant écrit en Verilog. L’idée est de décrire les propriétés du composant et de laisser l’ordinateur chercher les stimuli qui feront échouer des propriétés. Ça n’est plus le développeur qui écrit les tests, mais la machine. Cette méthode a récemment été rendue possible avec des logiciels libres grâce à la suite d’outils Yosys (synthèse Verilog), Yosys-SMTBMC (solveur) ainsi que SymbiYosys qui les chapeaute.
Papa de trois enfants en bas âge, j’ai souvent la tête dans les jouets. Mes enfants, comme beaucoup, s’amusent parfois à faire semblant d’acheter. Et si je leur fabriquais une sorte de « caisse/dînette » ! Ce serait tellement mieux s’ils pouvaient scanner des articles et que « ça marche », pour ensuite payer le total par carte !
« Raspberry Pi ou Arduino ? », voici la question typique que se posent nombre de débutants avant de comprendre rapidement que comparer un ordinateur monocarte (SBC) et une carte microcontrôleur n'a aucun sens. Il s'agit de deux mondes distincts reposant sur des philosophies et des contingences totalement différentes. Mais en ce début d'année 2021, la réponse à cette mauvaise question est devenue délicate, car voici venir la carte Pico : une plateforme équipée d'un microcontrôleur RP2040 double-cœur ARM Cortex M0+... par Raspberry Pi ! En d'autres termes, la question est donc maintenant aussi « Raspberry Pi ou Raspberry Pi ? ».
Les configurations PC actuelles reposent autour de processeurs (CPU comme GPU) qui sont certes très puissants en termes de calcul, mais également très consommateurs en énergie. Or la quasi-totalité de cette énergie électrique sera finalement transformée en chaleur que la machine doit dissiper, souvent activement. Rien d'étonnant donc de voir dans ces ordinateurs des systèmes de refroidissement normalisés qui pourront être utilisés par ailleurs, à condition d'être judicieusement contrôlés...