Développer un plugin pour Shinken

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
HS n°
Numéro
62
Mois de parution
septembre 2012
Spécialité(s)


Résumé
Avant toute chose, sachez que si vous êtes un admin fainéant (efficace pardon...), vous allez sûrement passer votre chemin ! En effet, cette partie - comme son nom l’indique - sera consacrée à la réalisation d’un plugin Shinken. Mais elle ne sera en aucun cas là pour réinventer la roue. Si vous voulez une bonne base de plugins déjà existants, rendez-vous sur www.monitoringexchange.org. Cela étant dit, nous pouvons commencer cette partie. Enfin presque, faisons d’abord quelques rappels pour ceux qui n’auraient pas lu les articles précédents.

1. Les plugins de supervision

Plugin ? Vous avez dit plugin ? Ce n’est qu’un mot un peu passe-partout pour dire que ces lignes de code ne sont pas dans Shinken de base et ne sont pas écrites par les auteurs de Shinken. Un plugin, dans sa forme la plus simple, n’est qu’un gentil petit fichier exécutable rangé avec ses copains dans un dossier spécifique (libexec le plus souvent).

Autre chose à savoir, un plugin peut porter plusieurs noms selon le point de vue : plugin, sonde, check... La sonde est lorsque l’on se place d’un point de vue de la supervision : on insiste sur le rôle que joue le plugin dans le processus de supervision. Le check correspond plutôt à la fonction réalisée par le plugin : il effectue des vérifications quand on lui demande (« on » étant le Scheduler dans Shinken). On utilisera donc n’importe laquelle de ces dénominations pour la suite.

Le contexte est donc posé, le but maintenant est de…

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