Beaglebone Black, GPIO et PWM

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
16
Mois de parution
octobre 2015
Spécialité(s)


Résumé

La carte Beaglebone Black offre de nombreuses entrées-sorties de types assez variés : série asynchrone, SPI, i²c, GPIO, etc. Dans cet article, nous allons nous intéresser aux broches GPIO et PWM. Suivant les distributions et les configurations du noyau, l'accès à ces entrées-sorties n'est pas toujours identique. Heureusement, un overlay du Device Tree nous simplifie la tâche.


1. GPIO et PWM

Les GPIO (General Purpose Input Output) sont bien connues des utilisateurs des ordinateurs monocartes qui fleurissent dans l'environnement Linux embarqué (Raspberry Pi, Banana Pro, Pandaboard, Cubieboard, etc.). Il s'agit de broches que l'on peut configurer à volonté en entrée ou en sortie et qui permettent de réaliser des communications plus ou moins élaborées entre un processeur et son environnement.

Les PWM (Pulse Width Modulation – Modulation de largeur d'impulsions) sont souvent moins bien connues, et moins répandues. Il s'agit de broches de sorties du system-on-chip sur lesquelles il est possible de programmer des signaux périodiques dont la fréquence et le rapport cyclique sont configurables.

Le rapport cyclique (duty cycle) d'un signal rectangulaire est le rapport entre la durée passée à l'état haut et la durée du cycle complet. Si on note R…

La suite est réservée aux abonnés. Il vous reste 93% à découvrir.
  • Accédez à tous les contenus de Connect en illimité
  • Découvrez des listes de lecture et des contenus Premium
  • Consultez les nouveaux articles en avant-première
Envie de lire la suite ? Rejoignez Connect
Je m'abonne maintenant


Article rédigé par