Il arrive parfois un jour où, ça y est, vous avez pris votre décision, le courage et l’envie sont là, c’est le moment : on va migrer. D’une ancienne technologie à une plus récente, par impératif professionnel, personnel, parce que c’est plus cohérent dans vos nouvelles coutumes, vous voyez exactement de quoi je parle, on frappe dans ses mains, on regarde le chantier, et on dit à voix haute : c’est parti.
1. L’état des lieux
Nous sommes nombreux à posséder des machines, virtuelles ou non, éparpillées aux quatre vents, un dédié par-ci, une machine historiquement hébergée chez votre ancien employeur, des machines virtuelles dans différents clouds… et jusqu’à récemment en tout cas. Pour ma part, cela se traduisait ainsi :
- une machine « perso » chez Scaleway, un Intel(R) Xeon(R) CPU E3-1220 V2 @ 3.10GHz muni de 16G de RAM DDR3 sous Debian GNU/Linux 10. Cette machine physique accueille 3 machines virtuelles fonctionnant sous NetBSD 9.2 :
- un serveur web (nginx), mail (postfix), DNS (bind) et client IRC (irssi) ;
- un serveur OpenVPN ;
- un client de backup (rsync).
- Coût : 50€ / mois.
- la machine du groupe GCU-Squad, jusqu’à il y a peu hébergée chez mon ancien employeur, un fier Intel(R) Xeon(R) X5450 @ 3.00GHz, muni de 8G de RAM DDR2 FB-DIMM qui faisait tourner les machines virtuelles suivantes :
- un serveur web (nginx) sous...
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