La démocratisation des concepts d’Open data, de Big data et de Smart cities a permis quelques belles réalisations urbaines, qui ont, en théorie, pour but de rendre les communautés plus agréables à vivre. Voyons comment l’Open data et la Smart City se combinent.
On en entend de plus en plus parler : les Smart Cities auraient pour vocation d’améliorer la qualité de vie des citoyens, en leur fournissant des services mieux adaptés, mieux calibrés, grâce aux nouvelles technologies. Avant d’analyser plus en amont ce concept, il faut revenir à sa base, à savoir : l’Open data.
1. De l’Open data à la Smart City
C’est en décembre 2007 que la notion d’Open Data fait son apparition dans le débat public grâce à Lawrence Lessig et Tim O’Reilly, dans le cadre des présidentielles Américaines de 2008 [1]. Le principe est simple : on a des données issues du public, elles doivent être accessibles au public, pour qu’il s’en empare et améliore, notamment, la démocratie et la gouvernance.
Petit à petit, les administrations et les grandes entreprises publiques et privées ont publié des données. On citera pour l’exemple l’Assemblée nationale, le Sénat, mais aussi, de façon très partielle, la SNCF, Météo...
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