La généralisation des capteurs et autres puces RFID sur les objets du quotidien permet aux matières scientifiques traditionnelles de connaître de nouvelles avancées. Ainsi, la rencontre de la médecine et de l’informatique a fait progresser la prise en charge de la personne malade, tant sur le plan du diagnostic que sur le plan du traitement. Avec l’avènement du Web dit 3.0 se posent de nouvelles interrogations en matière éthique et juridique.
Qu’on se le dise : la médecine connectée n’existe pas juridiquement parlant. Néanmoins, l’informatique médicale ainsi que la télémédecine sont des notions juridiquement reconnues et scientifiquement admises.
Tout d’abord, il convient de définir strictement le terme de médecine. C’est la science qui s’intéresse à l’ensemble des connaissances scientifiques et des moyens mis en œuvre pour la prévention, la guérison et le soulagement des maladies, blessures ou infirmités.
La matière n’est pas nouvelle, mais la manière de la pratiquer est bien éloignée de l’enseignement initial des Arabes, à qui nous devons une bonne partie de nos connaissances. Aujourd’hui, nous savons poser un diagnostic, nous savons prendre en charge la douleur, nous savons à peu près traiter les différentes pathologies et nous savons même remplacer certains organes par les techniques de greffes. Mais, même si nous savons détecter et éventuellement prévenir les...
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