Jason m'a envoyé un email disant en substance « J'ai reçu plein de Raspberry Pi, viens bricoler au lab samedi, j'apporterai les sushis et la bière ! » Comment refuser ? Évidemment, ce n'est pas la bière qui m'intéresse mais bien les petites cartes anglaises à base d'ARM tournant sous Linux. Et j'étais démangé depuis longtemps par l'idée de leur chatouiller les pattes...
1. Raspberry Express
Cela fait quelques semaines qu'une avalanche de framboises me tombe dessus. Pour commencer, je reçois un email du Artlab à Paris [1], où son responsable Jason organise parfois des journées de bricolage jovial en comité restreint. Il a reçu de quoi équiper la salle, avec des ensembles écran-clavier-souris-hub-platine-de-prototypage, et il commence à sensibiliser des artistes à ce sujet. J'ai enfin l'occasion de tâter de cette fameuse carte, et je veux voir si elle peut trouver une place dans mes projets de libriste...
Dans GMLF HS n°50 [2], j'avais introduit la notion de Time To Blink : le temps entre l'ouverture ou la découverte d'un kit de développement pour processeur embarqué, et le clignotement d'une LED. Plus ce temps est court, plus le kit est accessible et utile, une métrique à ajouter au prix et à la performance lors du choix d'une plateforme. Pour le Raspberry Pi, avec Jason, le TTB est de quelques minutes...
J'admets que...
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