Bodor Denis

Bodor Denis

Chef des rédactions, Rédacteur en chef du magazine Hackable et GNU/Linux Magazine France - Éditions Diamond

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DenisBodor2022
Description

Diplômé en informatique de l’Institut de Promotion Industrielle de Colmar, Denis Bodor est chef des rédactions et rédacteur en chef aux Éditions Diamond.

Rédacteur en chef du magazine GNU/Linux Magazine France de sa création en 1998 jusqu’en 2014 (et à nouveau depuis 2022), ainsi que du magazine Open Silicium de 2011 à 2015, et de Hackable depuis 2014, il se spécialise dans la rédaction d’articles traitant de développement bas niveau, d’informatique embarquée et d’électronique numérique.

Signature
Chef des rédactions, Rédacteur en chef du magazine Hackable et GNU/Linux Magazine France - Éditions Diamond
Articles de l'auteur

HP Pre3 : Android m'a tuer ?

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
4
Mois de parution
octobre 2011
Spécialité(s)
Résumé

Connaissez-vous le smartphone Pre3 de HP ? Moi, je ne le connaissais pas, ou pas vraiment. Puis j'ai entendu l'annonce de l'arrêt de la production des périphériques WebOS par HP et, je crois bien le même jour, je craquais pour un Pre3 sur Expansys car il était en promotion. Disons le clairement : je m'en veux ! Non de l'avoir acheté, mais plutôt de ne pas avoir porté plus tôt mon attention sur cette famille de périphériques...

Édito : +Denis

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
Numéro
141
Mois de parution
septembre 2011
Résumé

Je me suis toujours dis « Je n’aime pas les réseaux sociaux ». C’est vrai, le besoin compulsif d’étaler sa vie privée pour approbation par un ensemble d’amis quantitativement choisis, m’est vraiment étranger. Pourtant, voici que j’ai été obligé de clarifier et expliquer cette aversion dans mon esprit.

Petit tutoriel du débogueur GDB

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
HS n°
Numéro
55
Mois de parution
juillet 2011
Spécialité(s)
Résumé
Ecrire des programmes en C ou modifier ceux d'autres développeurs n'est pas quelque chose de naturel. Du moins pas dans un premier temps et avec la plupart des personnes. Les sources d'erreurs sont ainsi nombreuses. La fatigue, le manque d'expérience ou tout simplement la densité du code, sont parmi les plus courantes. Le fait est, que, quand on programme, on fait des erreurs. Parfois, ces erreurs ne sont pas les nôtres mais le fait de les corriger peut aider à faire évoluer un projet. Le problème est si courant que pour résoudre ces erreurs, des outils spécifiques ont été créés : les debuggers. Le plus utilisé sous GNU/Linux et d'autres systèmes en logiciel libre est celui proposé par le projet GNU : le GNU Debugger, GDB pour les intimes.

Expérimenter l'Android Open Accessory Development Kit... sans kit

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
3
Mois de parution
juillet 2011
Spécialité(s)
Résumé

En mai dernier, lors d'une présentation au Google I/O 2011, trois ingénieurs de Google faisaient l'annonce de l'ADK ou Accessory Development Kit. Cette nouvelle fonctionnalité intégrée dans Android 3.1 et backportée dans 2.3.4 sous forme d'add-on permet à tout un chacun de développer des accessoires pouvant interagir avec un périphérique Android à jour. La documentation officielle présente plusieurs kits basés sur Arduino, d'autres cartes à base Atmel AVR ou encore des kits reposant sur Microchip PIC24F. En y regardant de plus près, on s'aperçoit qu'en réalité, il n'est pas vraiment nécessaire de disposer d'un tel kit pour commencer à développer son accessoire.

Mise à jour manuelle d'un Galaxy S sans Windows

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
Numéro
140
Mois de parution
juillet 2011
Résumé
Lorsqu'on possède un smartphone Android et qu'on évolue dans le monde des systèmes embarqués en logiciel libre, deux choses s'avèrent rapidement être délicates : tenir à jour son périphérique qui n'est pas un smartphone “pure Google” (Nexus One ou S) et arriver à faire quelque chose, au niveau mise à jour système, sans avoir à basculer sous Windows, ne serait-ce qu'un petit moment. Si on ajoute à cela la difficulté à décoder le patois bizaroïde inventé par des script kiddies ayant du mal à différencier un noyau d'un bootloader, on regrette presque de ne pas utiliser un Openmoko ou son vieux Nokia 6510.

Ti MSP430 LaunchPad : développement sur microcontrôleur à petit prix !

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
3
Mois de parution
juillet 2011
Spécialité(s)
Résumé

Le lancement du LaunchPad par Ti (Texas Instruments), une plateforme de développement livrée avec connectique et deux microcontrôleurs basse consommation, n'est sans doute pas sans relation avec le succès de l'Arduino. Également open source et open hardware, LaunchPad se distingue par deux points particuliers. Il s'agit de MSP430, et c'est donc un point d'entrée vers une vaste gamme de microcontrôleurs. Le second point est le fait que le kit est furieusement accessible, moins de $5 pièce !

Edito

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
3
Mois de parution
juillet 2011
Résumé
Et de trois ! Il paraît que la troisième fois, c'est la confirmation. La première est la tentative, la seconde la vérification et la dernière confirme le projet. Eh bien, nous voici avoir confirmé OpenSilicium.

Compilation de sources C/C++ pour Android

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
HS n°
Numéro
55
Mois de parution
juillet 2011
Spécialité(s)
Résumé
Qui dit “Android” dit généralement “code en Java”. C'est d'ailleurs là, sans doute, l'une des raisons du succès de la plateforme et de l'affluence massive de développeurs dès les premières heures de la mise en ligne des SDK. Mais depuis quelques versions, il est également possible d'embarquer du code C/C++ et de le compiler pour la plateforme de Google sur architecture ARM. Il est même possible de créer, le plus naturellement du monde, un binaire ARM. Là, cela devient vraiment intéressant.

Construire un compteur Geiger-Müller soi-même c'est possible

Magazine
Marque
Open Silicium
Numéro
3
Mois de parution
juillet 2011
Spécialité(s)
Résumé

On pourrait dire que la rédaction surf sur une vague d'inquiétudes populaires sur fond d'écologisme gentil, mais en fait il n'en est rien. Il est des domaines qui sont captivants et aptes à susciter l'intérêt de l'evil scientist qui sommeil en chacun de nous, celui du nucléaire en fait partie. Mais contrairement à l'énergie du vide, à la téléportation ou au contrôle mental à distance, celui-ci peut être touché du doigt.