Édito
« Bah ! Je n'ai rien à me reprocher moi ». Voici généralement l'argument largement entendu de ceux qui n'ont pas d'avis ou sont potentiellement favorables à la surveillance globale et systématique : « De toute façon, on nous surveille déjà et je m'en fiche parce que, moi, je ne fais rien de mal, je n'ai rien à cacher ».