L’épidémie de COVID-19 a poussé un grand nombre d’entreprises, dans les bras du télétravail. Mais n’ayant pas toutes le matériel nécessaire, par défaut, elles se sont tournées vers le BYOD. Or, il existe différentes politiques de BYOD. En fonction des choix de l’entreprise, certaines sont plus pertinentes que d’autres. Tour d’horizon des possibilités.
Le BYOD, tout le monde en parle depuis bientôt 10 ans et pour cause, sur le papier, les statistiques paraissent séduisantes. Avant d’entrer dans le détail, revenons sur la définition : l’acronyme BYOD signifie Bring Your Own Device. Les salariés utilisent leurs appareils personnels dans un cadre professionnel. Mais derrière cette définition assez simple, se cachent ses réalités complexes.
1. Le BYOD : des chiffres et des faits
Pour comprendre l’engouement des entreprises pour le BYOD, il suffit de regarder certains chiffres.
Sur le simple plan de la productivité, d’après Fliplet, les salariés travailleraient 240 heures de plus sur une année, simplement en utilisant leurs smartphones et dans 61 % des cas, les employeurs attendent de ces derniers qu’ils utilisent leurs appareils personnels et soient disponibles, même lorsqu’ils ne les ont pas équipés. En 2018, 78,48 % des sociétés américaines avaient déployé une politique de BYOD et selon...
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