OCaml et C : le meilleur des mondes

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
Numéro
114
Mois de parution
mars 2009


Résumé
Cet article, le premier d'une série de deux, se propose d'illustrer les techniques de bindings de code C en OCaml avec un exemple pris dans la bibliothèque Ogg. Le but est de montrer comment le binding OCaml permet d'automatiser les tâches bas niveau du programmeur afin de se concentrer, dans le code OCaml, sur l'implémentation à proprement parler et la logique de programmation.

1. Présentation

Lors des différents projets de programmation que l'on peut rencontrer, un des problèmes qui se posent souvent est la possibilité d'implémenter une spécification en vérifiant que le programme respecte bien les contraintes requises.

Plus généralement, le travail de vérification et de correction des bugs d'un programme est souvent grandement simplifié lorsque le programmeur n'a à se concentrer que sur la logique de fonctionnement de son code, et non sur les erreurs « bas-niveau » comme l'allocation et la libération de mémoire.

Or, lorsque la logique de fonctionnement est complexe ou si l’on a à manipuler des objets dynamiques, comme des tableaux à taille variable dans un langage bas niveau comme le C, la lisibilité du code est souvent grandement affectée par toutes les manipulations bas niveau que cela implique. Ainsi, la logique d'implémentation est mélangée avec des tâches plus administratives qui rendent le travail de debug

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 96% à découvrir.
S'abonner à Connect
  • Accédez à tous les contenus de Connect en illimité
  • Découvrez des listes de lecture et des contenus Premium
  • Consultez les nouveaux articles en avant-première
Je m'abonne


Abonnez-vous maintenant

et profitez de tous les contenus en illimité

Je découvre les offres

Déjà abonné ? Connectez-vous