Automatisez à outrance avec Ansible !

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
Numéro
178
Mois de parution
janvier 2015
Spécialité(s)


Résumé
C'est bien connu, un bon développeur est un développeur paresseux. C'est encore plus vrai pour un administrateur réseau/système. Il n'y a rien de plus ennuyeux et inefficace que de devoir répéter les mêmes tâches encore et encore. C'est là le mot d'ordre du projet Ansible : automatiser tout ce qui peut l'être.

Au même titre que ces confrères et prédécesseurs que sont Chef, Puppet, CFEngine, Juju, Salt et bien d'autres encore, le projet (Open Source et avec variante commerciale) Ansible peut se définir comme un moteur d'orchestration, une plateforme permettant la configuration et l'administration distante d'une flotte infinie d'ordinateurs (et/ou serveurs). Relativement jeune (la première version datant du 20 février 2012), Ansible cherche à se différencier de ses compétiteurs (les acteurs majeurs ont plus de 10 ans) par une très grande simplicité d'utilisation et d'apprentissage. En premier lieu, et c'est la différence principale avec Chef et Puppet, Ansible utilise une architecture sans agents. Là où ses deux prédécesseurs requièrent la présence préalable d'un daemon tournant sur la machine à administrer, Ansible ne requiert qu'un serveur SSH. Potentiellement, toute machine UNIX disposant d'un serveur SSH est donc nativement administrable via Ansible. Le potentiel...

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