PWM et sortie analogique

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
HS n°
Numéro
64
Mois de parution
janvier 2013
Spécialité(s)


Résumé
A présent que nous avons vu et assimilé une partie du fonctionnement du ou des timer(s) du MSP430, il est temps de nous pencher sur l'une de leurs utilisations pratiques. La configuration de la PWM est intimement liée aux timers. Bien qu'il soit parfaitement possible d'obtenir une PWM de manière logicielle, il serait mal avisé de se passer des services des timers puisque, justement, ils possèdent généralement une ou plusieurs configuration(s) dédiée(s). Prêt pour faire « pulser » une LED ? Allons-y !

La PWM, Pulse Width Modulation ou modulation de largeur d'impulsion, c'est merveilleux une fois qu'on a compris le principe et qu'on est arrivé à l'appliquer à la configuration d'un timer pouvant piloter une sortie. Le principe du fonctionnement de la PWM est de définir un cycle selon lequel le timer va compter un certain nombre de fois pour une tranche de temps choisie. Ce nombre de cycles d'incrément par seconde est la fréquence de la PWM. Plus elle est importante, plus la PWM sera fluide et, dans le cas du pilotage d'une LED reliée à la sortie commandée, moins on percevra de clignotement. Le mode Up se prête bien à la PWM, car le compteur va aller jusqu'à TACCR0 et revenir à zéro. En choisissant, par exemple, une valeur de 0×1000, nous avons 4096 étapes par boucle du compteur. Pour obtenir une PWM, il nous suffit alors de définir quelle quantité de…

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