Été 2024... Exactement 30 ans après la première installation de GNU/Linux sur un 80486 cadencé à 100 MHz, 80 disquettes copiées depuis un CD (distribution Slackware) dont je ne possédais pas le lecteur, avec évidemment la 79e disquette défectueuse pour achever l’installation de X11 (alias XFree86, avant sa reprise en X.Org en 1999). Peu importe, l’interface graphique ne sert à rien d’autre que consommer des ressources inutilement [1]. J’ai oublié la version du noyau (kernel), l’historique indique 1.1, mais je ne développais pas à ce niveau à cette époque. J’ai eu la chance de transiter de MS-DOS à GNU/Linux sans passer par l’étape MS Windows, l’École Normale Supérieure de Lyon à laquelle j’accède en septembre 1994 étant exclusivement munie de stations Sun Microsystems sous Solaris.
À partir de l’été 1995 arrivait le cher noyau 1.2.13, sur lequel nous avons fait nos premières armes de pilotes (qui ne s’appelaient pas modules à l’époque, cette fonctionnalité n’existait pas), où chaque modification au noyau prenait une nuit pour recompiler (Fig. 1). L’ajout des modules, autour de 1996, a considérablement facilité ces développements (version 2.0 du noyau).
Il semble que gnuplot ne soit plus à la mode comme outil pour tracer des courbes....
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