Édito
La ligne de commande est l'interface ultime, certes... mais pas pour tout le monde.
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Chef des rédactions, Rédacteur en chef du magazine Hackable et GNU/Linux Magazine France - Éditions Diamond
Diplômé en informatique de l’Institut de Promotion Industrielle de Colmar, Denis Bodor est chef des rédactions et rédacteur en chef aux Éditions Diamond.
Rédacteur en chef du magazine GNU/Linux Magazine France de sa création en 1998 jusqu’en 2014 (et à nouveau depuis 2022), ainsi que du magazine Open Silicium de 2011 à 2015, et de Hackable depuis 2014, il se spécialise dans la rédaction d’articles traitant de développement bas niveau, d’informatique embarquée et d’électronique numérique.
La ligne de commande est l'interface ultime, certes... mais pas pour tout le monde.
Voici quelques saines lectures pour vos soirées. Ces ouvrages ne sont pas nécessairement les plus récents, mais méritent de trouver place dans la bibliothèque de tout développeur qui se respecte, selon ses affinités personnelles bien sûr. Il vous faudra certes un minimum de pratique dans la langue de Shakespeare pour les « consommer », mais l'effort en vaut réellement la chandelle au regard de leur contenu...
Voici quelques saines lectures pour vos soirées. Ces ouvrages ne sont pas nécessairement les plus récents, mais méritent de trouver place dans la bibliothèque de tout développeur qui se respecte, selon ses affinités personnelles bien sûr. Il vous faudra certes un minimum de pratique dans la langue de Shakespeare pour les « consommer », mais l'effort en vaut réellement la chandelle au regard de leur contenu...
Lorsqu'on parle de technologies NFC, on pense généralement aux tags comme les NTAG, les MIFARE Classic ou plus raisonnablement, les DESFire EV1. Mais il existe tout un monde en dehors des produits NXP souvent parfaitement pris en charge par des bibliothèques de haut niveau, et c'est là l'occasion parfaite d'explorer, plus en profondeur, les protocoles et fonctionnalités offertes par la libNFC. Penchons-nous donc sur les tags ST25TA de chez STMicroelectronics...
Il y a de petits projets de week-end qui paraissent anodins à première vue, mais qui, une fois dans les méandres du code, révèlent des problématiques aussi intéressantes que les solutions qui les accompagnent. L'objet du présent article n'est pas réellement de vous détailler le montage en lui-même, après tout il ne s'agit que d'une horloge décorative avec un microcontrôleur AVR, un module RTC, quelques LED adressables APA106 et le framework Arduino. Non, l'idée est simplement de vous présenter quelques « points de friction » et les approches utilisées pour les « lubrifier »...
Nous avons, en début d'année, fait le choix d'augmenter la fréquence de publication du magazine afin de publier un numéro tous les deux mois, et non plus trois comme précédemment. Ce changement a été fait tout en conservant les autres caractéristiques du magazine et en particulier, la quantité de pages et la masse de contenu présent dans chaque numéro.
Pour faire connaissance avec une technologie, qu'elle soit nouvelle ou non, il y a généralement deux méthodes envisageables. Potasser sagement la documentation et étudier ce qui existe, ou avoir une approche plus empirique consistant à jouer et expérimenter au risque d'éventuellement « casser » quelque chose. Lorsqu'il est question de matériel, on y réfléchira à deux fois, mais s'il s'agit d'un protocole réseau, l'approche la moins ennuyeuse est évidente. Voyons cela avec les trames de gestion 802.11.
Si vous souhaitez développer un programme permettant à l'utilisateur de saisir des commandes et ainsi fournir une interface souple d'utilisation ayant des fonctionnalités avancées d'édition de lignes, plusieurs options s'offrent à vous. Vous pouvez tout faire à la main, choisir une alternative légère comme Linenoise [1] ou opter pour quelque chose de classique et éprouvé : GNU Readline.
Les cartes Arduino AVR, ainsi que d'autres plateformes utilisant cet environnement et cet « IDE », proposent de base une EEPROM permettant de stocker une quantité réduite de données survivant entre les phases d'alimentation d'un projet. Dans le cas des AVR, cette EEPROM est physiquement présente dans le microcontrôleur, mais avec un ESP32 par exemple, c'est une zone de la flash qui sera utilisée. Qu'en est-il d'une fonctionnalité similaire avec la Raspberry Pi Pico et son RP2040 ?