L’intégration continue : faire en sorte que les tests soient lancés automatiquement à chaque fois qu’on pousse un commit sur un système de contrôle de versions et donc, réduire la charge mentale et éviter les bourdes qui cassent le master. Partager simplement entre tous les membres de l’équipe le statut des tests et garder un historique. Voilà tout ce à quoi peut servir l’intégration continue. Cet article sera l’occasion de voir en détail comment configurer deux outils d’intégration continue. Histoire que vous ne s-CI-ez plus la branche sur laquelle votre équipe est assise.
Tout le monde sait qu’il faut écrire des tests. Et les lancer. Et tout le monde le fait, bien entendu. Mais si l’on en reste à ce palier, on n’est au final pas très loin du « chez moi, ça marche », mais avec des tests. Sans compter que cela demande une certaine rigueur, une automatisation manuelle du lancement des commandes de tests et de lints et cela, avant de pousser une branche, par exemple. Et les autres membres de l’équipe n’ont alors aucune visibilité sur le résultat de vos tests, à part en vous demandant. C’est là qu’intervient l’intégration continue. L’intégration continue, c’est un ensemble de processus qui visent à vérifier de manière automatique qu’il n’y a pas de régression dans le code. En résumé, cela permet de lancer les tests automatiquement et d’afficher les résultats, de manière visible par l’équipe. Dans cet article, nous allons étudier différents systèmes pour l’intégration continue.
1. L'intégration...
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