Les codes fantastiques : utilisation d’un bytecode Python invalide
Continuons cette série sur les codes fantastiques avec un exemple tiré d’une histoire vécue : retrouver les sources d’un plug-in Python obfusqué...
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Continuons cette série sur les codes fantastiques avec un exemple tiré d’une histoire vécue : retrouver les sources d’un plug-in Python obfusqué...
Si je vous évoque HTML/CSS/JavaScript, React.js, vous pensez d’abord au Web, voyons ici comment avec ces mêmes technologies on peut développer un logiciel modulaire grâce à Electron.
Poetry est un gestionnaire de bibliothèques tierces Python qui permet de décrire ses besoins et de ne pas se préoccuper de gérer les dépendances, tout en assurant la possibilité de maîtriser totalement son environnement.
Le 24 octobre 2022 sortait Python 3.11 et avec lui, quelques nouveautés que nous allons vous présenter. Nous en profiterons pour faire un tour des derniers changements majeurs de ces dernières années dans le langage Python.
Développer ses petits outils, quel que soit le langage, est une activité mariant l'utile à l'agréable et l’on se satisfait généralement d'une exécution locale ou d'une simple copie dans un endroit quelconque pointé par le PATH. Lorsque les outils en question deviennent potentiellement intéressants pour plus d'une personne, on prend son courage à deux mains et on en diffuse les sources publiquement (via GitLab ou GitHub, par exemple). Et arrive ensuite la problématique d'intégration au système et donc l'implication d'un système de gestion de paquets...
On peut dire que les duels ne sont pas le fort d'Évariste Galois, mais on ne peut y perdre qu'une seule fois, n'est-ce pas ? Au moins, sa revanche contre les institutions, qui ne l'ont pas écouté de son vivant, perdure encore aujourd'hui puisque nous utilisons partout les évolutions de ses travaux, développés depuis deux cents ans, sous nos yeux, sans le savoir. Avant de faire une comparaison avec de nouvelles techniques et approches, je tenais à revenir (une dernière fois ?) dans cet article sur celles déjà mises au point jusqu'ici, et mettre en perspective quelques idées fondamentales sur lesquelles elles reposent. Tout cela peut sembler bien loin de nos considérations quotidiennes, puisque nous, les codeurs, préférons réutiliser les briques existantes et déjà éprouvées, mais alors que faire lorsqu'une nouvelle technique apparaît ?
Si vous êtes utilisateur de la plateforme, que personnellement je ne qualifierais pas de réseau social, mais tout dépend de l'usage qu'on en fait, vous n'êtes pas sans savoir que depuis quelques semaines et bientôt mois, l'ambiance sur Twitter a quelque peu été chamboulée suite au rachat par Elon Musk. Un certain nombre de personnes semblent, ou du moins annoncent, vouloir quitter la plateforme et se diriger vers le « Fédivers », et en particulier vers Mastodon.
Recompiler et reconstruire tout un OS n'est généralement plus quelque chose qu'on fait très souvent de nos jours. Les cas sont généralement limités à quelques domaines ou obligations techniques, parmi lesquels l'embarqué, le maintien de solutions legacy, ou la simple perversité. FreeBSD, comme GNU/Linux, n'échappe pas à cette règle et bien des fois, les images binaires (USB, ISO, archives, etc.) sont suffisantes... Sauf quand ce n'est pas le cas.