Morère Yann

Vous utilisez peut-être déjà le service web de la société suisse Doodle AG. Il permet la création simplifiée de sondages avec des options personnalisables. On peut l'utiliser comme un « synchronisateur » afin de déterminer une date ou un horaire convenant à un maximum de participants. Cependant, toutes les informations que vous y déposez peuvent être utilisées par la société Doodle. Si cela ne vous convient pas, il est peut-être intéressant de passer sur des alternatives libres.

On parle de plus en plus des imprimantes 3D, on en trouve même maintenant dans les supermarchés pour un tarif abordable… Oui, mais que peut-on faire avec ? Et surtout, comment les mettre en œuvre à l'aide de notre système préféré en commençant par la conception de la pièce jusqu'à son impression finale ? Nous allons tenter de répondre à toutes ces questions dans les pages qui suivent.

La ligne de commandes ne vous est plus inconnue depuis les différents hors-séries de votre magazine consacrés sur le sujet. On vous y a décrit comment personnaliser votre invite de commandes pour y mettre informations et couleurs. Nous allons ici aller un peu plus loin en utilisant PowerLine Shell, une invite de commandes jolie, mais aussi très utile, entre autres, aux utilisateurs des gestionnaires de codes sources comme Git ou Subversion.

Qui n'a jamais travaillé très tard le soir dans l'urgence pour rendre un dossier me jette la première pierre… Nous avons tous en nous une petite tendance à la procrastination et un jour ça se paie ! Tracks devrait vous permettre, avec un peu d'organisation de vous éviter ce genre de déconvenue...

Avant de nous lancer dans l'utilisation des commandes Unix, nous allons présenter quelques notions importantes pour une meilleure compréhension de votre système et par la même occasion, une meilleure utilisation de celui-ci.

Afin d'aller un peu plus loin dans la compréhension et la maîtrise de son système, il est nécessaire de pouvoir consulter et rechercher des informations dans les fichiers et des journaux (logs). La bonne exploitation des données qu'ils contiennent est la clé d'une bonne capacité à résoudre un problème éventuel. Généralement, vous aurez besoin des droits d'administration pour pouvoir accéder à certains fichiers protégés. Cette journée sera consacrée à ces activités.

18 ans ! Heu non, ce n'est malheureusement pas mon âge (!), mais celui de ma première installation d'une distribution Linux sur une bête de course : un 486 DX 4/100. Il s'agissait d'une distribution Slackware francisée : « Linux Kheops » éditée par les « logiciels du soleil ». On est en 1996 et elle embarque un noyau 2.0 et Xfree86. À cette époque, après avoir laborieusement créé les disquettes d'installation de 1,44Mo, l'installation se déroulait exclusivement en mode texte. Je me souviens avoir ensuite passé une bonne partie de la nuit avant d'arriver à configurer convenablement le serveur X à l'aide de la bible de l'époque : le Guide du Rootard.

On y est. Vous avez installé les outils Cygwin sous Windows ou configuré une machine virtuelle Linux à l'aide de VirtualBox. On peut maintenant entrer dans le vif du sujet : interagir avec le système à l'aide de la ligne de commandes.

Allons maintenant un peu plus loin dans l'administration de notre système. Il s'agira d'apprendre à mettre en œuvre les expressions rationnelles pour la création de filtres puissants, de savoir installer/supprimer de nouvelles applications et de gérer les services de votre système. Ensuite, nous verrons comment surveiller les programmes fonctionnant sur notre système et les terminer si nécessaire.