Bodor Denis

Les machines virtuelles offrent des solutions intéressantes en termes d'infrastructures serveur. On peut ainsi facilement isoler un service dans une machine invitée et compartimenter son offre de service. Mais l'utilisation de machines virtuelles permet également l'utilisation de réseaux complets tout aussi virtuels.

« Éditer manuellement ce fichier est inutile et non recommandé… »

On le ne répètera jamais assez, les sauvegardes sont la clef de la sérénité de tout utilisateur. On le répète, mais peu de personnes pensent effectivement aux sauvegardes, sauf, bien sûr, lorsque c'est trop tard et qu'on est sur le point de perdre ses fichiers, ses photos, ses documents, etc. Imaginez la situation suivante : plus d'accès au mode graphique, pas de clef USB sous la main et un système apparemment bon à être réinstallé. Une seule solution, graver un CD ou un DVD avec ce qui reste du système, la ligne de commande.

Vous avez sans doute déjà remarqué les petits messages qui s'affichent sur le bureau GNOME et vous signalent, par exemple, la connexion au réseau. Ce système est présent depuis longtemps dans l'environnement, mais, c'est depuis GNOME 2.28 que celui-ci possède un aspect réellement moderne.

Un flux réseau en clair est, par définition, quelque chose de non sûr. Au-delà de la capture d'informations à la volée, ce type de connexions via des accès publics permet toutes sortes de manipulations. L'une d'elles consiste à vous faire croire que vous vous connectez au serveur Web désiré, alors qu'il n'en rien. Vous fournissez directement vos données à l'attaquant sur un plateau doré. La mise au point de ce type d'attaque est d'une facilité terrifiante. Démonstration.

Voici une sélection d’ouvrages.

GNU/Linux Magazine est votre ami. Avez-vous remarqué comme notre environnement et notre « communauté » changent au fil du temps ou, plus exactement, comme ils grossissent et font apparaître un certain nombre de courants en leur sein ?

Aaaahhh, ça faisait longtemps ! Difficile de le cacher, un numéro de GLMF pour deux mois, c’est dur. Je parle de moi bien sûr, mais je suppose (ou j’espère) qu’il doit en être de même de votre côté. Vous m’avez manqué et, pour fêter cela, nous avons décidé, à la rédaction, de frapper un grand coup.

Comme on le dit parfois, les grandes idées se rejoignent. Dans le numéro 111 de GLMF, j'avais glissé le souhait de voir traduit The book of PF de NO STARCH PRESS en français. Eh bien, voilà chose faite. C'est donc avec le plus grand plaisir que j'en fais la critique (en connaissance de cause) dans le présent numéro.