« Bah ! Je n'ai rien à me reprocher moi ». Voici généralement l'argument largement entendu de ceux qui n'ont pas d'avis ou sont potentiellement favorables à la surveillance globale et systématique : « De toute façon, on nous surveille déjà et je m'en fiche parce que, moi, je ne fais rien de mal, je n'ai rien à cacher ».
Ceci peut sembler être un argument imparable si on retire purement et simplement l'aspect moral de la question. Pourtant, c'est un raisonnement totalement faux. En effet, dans la société telle qu'elle existe,...
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