Les déploiements à l’aide de conteneurs deviennent, de plus en plus, le standard pour les environnements de développement et de test, comme de production. Cet article propose donc d’introduire son lecteur à la manipulation de ce type de mécanisme de déploiement, afin que celui-ci puisse prendre en main, de manière pratique, leur utilisation.
Fidèles aux habitudes de ce magazine, nous allons aborder la technologie des conteneurs, sans longs préliminaires et considérations théoriques, par la pratique. Armés d’un petit cahier des charges, volontairement simple, mais concret, nous allons explorer la prise en main et la manipulation de conteneurs à l’aide de Podman.
1. Prérequis
L’ensemble des manipulations présentées dans cet article peuvent être reproduites sur un poste de travail Linux, utilisant une distribution récente, dérivée de Red Hat Enterprise Linux (RHEL), qu’il s’agisse de Fedora, Scientific Linux, ou encore CentOS. Les démonstrations qui illustrent ce texte ont été effectuées sur un système RHEL 8.6 à jour :
La seule opération à réaliser avant de commencer à utiliser Podman est de s’assurer qu’il est installé sur le système à l’aide de la commande suivante :
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