Raynal Frederic

Raynal Frederic

29 article(s)

Articles de l'auteur

Édito : Odyssée O-day

Magazine
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MISC
Numéro
66
Mois de parution
mars 2013
Résumé

Après un temps qui lui semblait proche de l'infini, il avait enfin cerné le problème, la cause profonde. Il tenait les registres, il connaissait l'organisation de la mémoire au bit près, il avait enfin le contrôle du flux d'exécution. Un superbe 0 day. Et ensuite ? Il reste à weaponizer ce 0-day, c'est-à-dire faire rentrer le cheval de Troie dans la place. Et là, tous les coups sont bons : faux documents, sites pornographiques, mises à jour douteuses... la ruse est reine.

Introduction au dossier : Téléphones mobiles : que cachent-ils ?

Magazine
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MISC
Numéro
51
Mois de parution
septembre 2010
Spécialité(s)
Résumé

C'est un lieu commun, les téléphones portables sont devenus bien plus que de simples téléphones. Le moindre appareil est maintenant plus puissant que les ordinateurs d'il y a quelques années. Ils sont équipés de plusieurs processeurs, disposent de mémoires hautement performantes, et accessoirement, permettent de passer et recevoir des coups de fil.

Introduction au dossier : Le Web, encore un nouveau maillon faible ?

Magazine
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MISC
Numéro
49
Mois de parution
mai 2010
Spécialité(s)
Résumé

Réfléchissons quelques minutes à l'évolution des fameux systèmes d'information. Ils sont entourés de moult protections, dont le marketing explique bien souvent le prix de la licence (notez que j'ai écrit « explique » et non « justifie »). Du coup, quand on cible une entité, de l'extérieur, les points d'accès sont généralement connus et limités : un webmail, un VPN, un serveur de messagerie, un pseudo-serveur web.

Introduction au dossier : La lutte antivirale, une cause perdue ?

Magazine
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MISC
Numéro
47
Mois de parution
janvier 2010
Spécialité(s)
Résumé

Ne laissons pas planer le doute plus longtemps car la réponse a déjà été donnée il y a plus de 20 ans par Fred Cohen : oui ! Il a démontré mathématiquement que le problème de détection virale était tellement complexe qu'il ne pouvait être résolu dans un temps acceptable. Quand on ramène ça aux contraintes des logiciels antivirus, on comprend d'emblée que ceux-ci vont devoir faire des compromis. Le simple bon sens suffit à percevoir qu'un logiciel tournant sous Windows 7 sur un PC multicœur avec 8Go de mémoire ne peut pas atteindre les mêmes performances que celui tournant sur les 256Mo associé au processeur ARM d'un téléphone portable. Et pourtant, on nous vend des antivirus dans les 2 cas. Accessoirement, les menaces ne sont pas les mêmes non plus...