Techniques d'ingénierie sociale pour exploiter nos faiblesses
Nous avons beau dépenser des centaines de milliers voire de millions d’euros pour sécuriser une infrastructure informatique, des accès à un bâtiment, à la sensibilisation de nos utilisateurs... le maillon faible est et restera l’être humain. Il a beau être ce qu’il est, c’est-à-dire un être inégalable par sa spécificité, mais il reste un être humain avec ses propres failles comme la naïveté, la curiosité, la cupidité... Le facteur humain est le point central des techniques d’attaque rencontrées dans l’ingénierie sociale parce qu’il est l’élément critique dans la chaîne de la cybersécurité. Aucun logiciel n’est capable d’empêcher la manipulation et la tromperie et il n’y a pas de piratage sans conséquence directe ou indirecte.