Il existe de nombreux exemples d’utilisation de Docker pour la mise en place de systèmes relativement simples, exécutant en général un seul et unique service. Néanmoins, l’ingénieur logiciel expérimenté sait bien que les déploiements en production restent rarement aussi simples et épurés que leur version initiale. La question de la gestion et maintenance d’une image Docker se pose donc rapidement, avec celle de la limite des capacités de configuration associées au format « Dockerfile »...
Avec l’arrivée des technologies à base de conteneur, et spécialement avec Docker, la logique de configuration d’une instance s’est déplacée d’outils tels qu’Ansible [1], Chef [2] ou Puppet [3] vers le fichier Dockerfile. Certains spécialistes argumentent même, non de manière complètement déraisonnable, que ces outils ne seront bientôt plus nécessaires pour déployer et maintenir des services en production, puisque les fonctionnalités offertes par le Dockerfile couvrent celles proposées par ces derniers.
Néanmoins, comme nous allons l’illustrer dans cet article, cette stratégie a aussi de sévères limitations et les gestionnaires de configuration, en particulier Ansible, sont loin d’avoir réellement complètement perdu de leur intérêt.
S'il est toujours appréciable qu’un article soit le plus didactique possible, et limite donc les prérequis nécessaires à sa lecture, il n’est malheureusement pas possible ici d’expliciter en...
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