On les utilise tous les jours en allant au supermarché, en scannant un produit pour obtenir des informations. Ils se déclinent de différentes façons depuis des codes unidimensionnels jusqu'à des codes multidimensionnels. Les utiliser en lecture est simple (quand on utilise un logiciel tout prêt), mais pour les créer, il faut être conscient de certaines contraintes fixées par des normes. « Ils », ce sont les codes-barres...
Lors d'un salon, on vous distribue une carte de visite contenant un code-barres (en l'occurrence un QR-code). Vous vous dites : « chic, je ne vais pas avoir à rentrer les informations à la main dans mon répertoire, je vais créer le contact directement en le scannant ». Vous sortez donc votre smartphone, sélectionnez votre application de scan préférée et... ça ne marche pas. Le scanner cherche, mais n'est pas capable de détecter le QR-code. Dommage, vous auriez gagné du temps et la personne vous ayant donné sa carte vous paraît tout à coup moins crédible... Et si ça vous arrivait à vous aussi ? Comment savoir si un code-barres est correct ? Il n'y a qu'une solution : décortiquer les normes et comprendre comment sont construits ces codes-barres. Mais ce n'est pas aussi simple que cela peut en avoir l'air. Je vous propose donc de nous restreindre aux codes-barres unidimensionnels (rien n'empêchera d'analyser les QR-codes dans un prochain article).
1. Les...
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