La théorie de Galois est essentiellement la théorie des permutations. Il est donc normal qu’elle serve à mélanger un jeu de cartes virtuel. Ce trivial exercice de codage vidéoludique a cependant des implications surprenantes.
En tant que lecteur régulier, si je n’avais pas écrit cet article, j’aurais pensé tout fort en le découvrant « Oh non ! Pas encore un de ces articles nébuleux sur Galois, j’en peux plus ! » Mais les permutations sont partout, et qui dit permutations dit Galois, c’est comme ça. On peut continuer de l’ignorer, ou bien finalement décider d’explorer sérieusement la théorie, qui bien que subtile, n’est pas si difficile que ça. Il n’y avait qu’à lire les articles avec un peu d’attention, au lieu de juste les survoler.
1. Brouillons les cartes
Il semble que beaucoup de problèmes mathématiques émergent des jeux de cartes. Stanislaw Ulam aurait inventé la méthode de Monte-Carlo en jouant au solitaire, alors que le Black Jack a incité le comptage des cartes et les joueurs de poker sont carrément dans un autre monde.
Dans le cas présent, il s’agissait uniquement d’écrire un court exemple pour montrer comment coder un jeu de base (sur une…
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