Colombo Tristan

Lorsque l'on lance une installation de GNU/Linux on tombe immanquablement sur un menu de démarrage proposant diverses options. Quel va être l'impact du choix que nous allons faire ? Pouvons-nous sélectionner n'importe quelle option ?

À l'installation, nous avons dû créer deux utilisateurs : un utilisateur appelé « administrateur » ou « root » et un utilisateur dit « standard ». Mais votre système peut accueillir d'autres utilisateurs qu'il faudra créer et auxquels il faudra attribuer des droits.

Vous venez de réaliser l'installation de votre système, mais certains périphériques ne sont pas reconnus, ou des messages d'erreur apparaissent à l'écran. Il va falloir trouver comment régler le problème... Mais où ?

Il n'y a que dans un monde imaginaire que votre système sera tout le temps fonctionnel. Dans la vraie vie, il arrive toujours un moment où un élément du système ne marche plus. Les causes peuvent être diverses, mais il vaut mieux être un minimum armé pour y faire face.

Le shell est utilisé pour toutes sortes d'opérations et notamment la navigation dans l'arborescence des fichiers. À partir d'un petit jeu de commandes, on peut afficher le contenu d'un répertoire, créer ou supprimer des répertoires et même les déplacer. On peut également afficher le contenu d'un fichier et faire bien d'autres choses.

L'utilisation de la console a aussi pour but d'être une alternative plus efficace à l'environnement graphique et à la souris en termes de rapidité. Mais là où un clic de souris peut parfois suffire, il faut ici taper des commandes... Un certain nombre de mécanismes ont donc été mis en place pour vous simplifier la vie.

Lorsque l'on utilise un environnement graphique, il faut souvent se servir de la souris... Or, nous sommes beaucoup plus rapides avec un clavier pour les tâches non graphiques ! Pourquoi ne pas se servir de tous les outils à notre disposition et joindre les avantages de la souris et du clavier ?

Lors de l'installation, on vous pose la question du « partitionnement » du disque. Une configuration automatique utilisant tout le disque vous est proposée. C'est la solution la plus simple, mais pas forcément la plus efficace. On peut alors utiliser la configuration manuelle, mais là, il faut savoir ce qu'est une partition...

Chaque fois que vous exécutez une commande, un processus est créé. Ce mécanisme est donc très important, car imaginez qu'un programme se mette à tourner indéfiniment... Pour l'arrêter, il faudra être capable d'agir sur le processus qui lui est associé.