Les 5 règles pour écrire du code maintenable

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
HS n°
Numéro
104
Mois de parution
septembre 2019
Spécialité(s)


Résumé
Un code mal pensé entraîne nécessairement une perte d'énergie et de temps. Il est plus simple de réfléchir, au moment de la conception du programme, à une architecture permettant une meilleure maintenabilité que de devoir corriger un code « sale », a posteriori. C'est pour aider les développeurs à rester dans le droit chemin que les principes SOLID ont été énumérés.

Dans les années 2000, Robert Martin introduit l'acronyme SOLID pour résumer cinq principes clés pour produire du code « propre », facile à maintenir.

Ces principes clés sont ceux que nous allons voir dans cet article et qui en constitueront l'ossature, mais en amont, en guise d'introduction, nous pouvons nous intéresser à une approche qualité, venue du Japon au milieu du siècle dernier et qui peut s'appliquer à l'informatique. Cette approche ou philosophie des 5S, présentée dans [1], est la suivante :

  • Seiri (« s'organiser ») : les différents éléments d'un code doivent être structurés et aisément identifiables. Ainsi, une action aussi anodine que de nommer les identifiants, méthodes et classes ne l'est pas tant que cela et doit requérir toute votre attention ;
  • Seiton (« situer ») : un morceau de code doit se trouver là où l'on s'attend logiquement à ce qu…
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