Bash, bonnes pratiques à respecter, pour s'adapter aux aléas du « Cloud »

Magazine
Marque
GNU/Linux Magazine
Numéro
145
Mois de parution
janvier 2012
Spécialité(s)


Résumé

L'heure du Cloud ayant sonné, il va être temps de revoir nos degrés d'exigence en termes de scripts Bash. En effet, finis les scripts à moitié dysfonctionnels ou cassés, le Cloud ne les permet plus ! Pourquoi ? Parce que le « Cloud » demande de la robustesse, les systèmes qui s'y exécutent doivent survivre aux pannes et autres coupures de réseaux... Oui, mais comment faire ? Comment rendre ses scripts plus robustes et plus propres ? Petite explication de texte dans cet article...


1. Avant-propos

1.1 De l'usage des scripts...

Les scripts shell (Bash ou autres d'ailleurs) sont partout. On en trouve un peu à toutes les sauces, et dans l'ensemble, ils ne sont que rarement irréprochables, même du point de vue strictement technique. Cependant, ils font la plupart du temps le travail qu'on leur demande, et, s'ils n'y parviennent pas, on se contente généralement de les exécuter une nouvelle fois plutôt que de chercher à les rendre plus « imperméables » aux erreurs.

Leur manque de robustesse, de propreté ou même de certaines fonctionnalités n'est jamais réellement un problème, car ils ne sont que rarement exécutés. Généralement uniquement au démarrage d'une machine ou d'un serveur, ou même parfois encore plus rarement, uniquement lors d'une installation.

Dans ce genre de contexte, s'ils ne s'exécutent pas correctement, ils sont simplement relancés, et/ou rapidement corrigés à la main. On y perd un peu de temps, mais étant...

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 98% à découvrir.
S'abonner à Connect
  • Accédez à tous les contenus de Connect en illimité
  • Découvrez des listes de lecture et des contenus Premium
  • Consultez les nouveaux articles en avant-première
Je m'abonne


Article rédigé par

Abonnez-vous maintenant

et profitez de tous les contenus en illimité

Je découvre les offres

Déjà abonné ? Connectez-vous