À une époque où la concurrence fait rage dans le petit monde de la virtualisation, VMware, Hyper-V et les autres n'ont qu'à bien se tenir. oVirt veut se faire une place au soleil et s'en donne les moyens ! Petit tour d'horizon avant d'y aller, au soleil...
1. oVirt or not to virt…
La virtualisation s'impose aujourd'hui comme LA voie à suivre en matière de gestion de serveurs. Je connais très peu d'administrateurs qui n'aient pas été conquis par ses différents avantages.
Souvenez-vous la désagréable sensation de la sueur qui perle sur le visage avant l'application d'une mise à jour... Ou mieux, juste avant de restaurer une sauvegarde... (pourvu que ça fonctionne, Petit Jésus prends pitié de moi, c'est vendredi aujourd'hui...).
Heureusement, grâce à la virtualisation, terminé les angoisses ! On peut tester l'application d'une mise à jour sur un clone ou, au pire, appliquer un « rollback » si ça ne se passe pas trop bien. Autre avantage, restaurer une sauvegarde nécessite généralement moins de temps qu'auparavant. Quelqu'un a des regrets ? Bon d'accord, il s'agit ici du scénario idéal, mais soyons honnêtes, la virtualisation rend bien des services !
La tâche que je vais entamer ici n'est pas...
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