Le but de cet article est la découverte de toutes les faces cachées de systemd et particulièrement l'initialisation du système et l'administration des services, l'optimisation des performances et la gestion élémentaire des journaux.
Après une longue réflexion, j'ai décidé de rédiger un article sur systemd. Pourquoi ? Tout d'abord, pour une raison évidente, puisque ce dernier a envahi aujourd'hui tout ou presque la plupart des distributions GNU/Linux, notamment RHEL 7, CentOS sans oublier Debian et Ubuntu. D'autre part, il est nécessaire pour un utilisateur régulier de Linux ou certainement pour un administrateur de migrer vers systemd et de comprendre sa nouvelle philosophie pour la gestion du système. Eh oui, je peux vous affirmer que systemd est une révolution pour les systèmes GNU/Linux, non pas parce qu'il remplace le vieux init, mais parce qu'il incarne la majorité des fonctionnalités du système : la gestion des ressources, l'arrêt et le démarrage des services, la détection des périphériques, la journalisation, la virtualisation par conteneur… Bref, systemd malgré les polémiques qu'il a déclenché depuis sa naissance au sein de la firme Red Hat, est présent malgré tout au cœur...
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