Les bases du Shell

Spécialité(s)


Résumé

Ce hors-série a pour objectif de « booster vos scripts » afin de les rendre plus puissants, plus rapides, mais aussi plus robustes. Néanmoins, on ne peut pas jouer à la Formule 1, si la voiture n’a pas le bon châssis : il est donc nécessaire de commencer ce magazine par quelques sains rappels de bonnes pratiques et bonne conception de script, avant de pouvoir aller plus loin et surtout plus « vite » !


1. Bien structurer son script Shell

1.1 Bash - jusqu’à ce que la mort nous sépare

Posons les règles du jeu dès le début de ce hors-série : ici, on cause Bash. Ce qui ne veut pas dire que Bash est le meilleur interpréteur ni que celui que vous utilisez n’est pas aussi bien. Il est juste important de bien sélectionner un interpréteur précis lorsque l’on conçoit un script et, dans le cadre de ce hors-série, nous avons retenu Bash.

Nous ne sommes pas les seuls à avoir fait ce choix, puisque systématiser l’utilisation du Bash [1] est une recommandation de Google pour ses équipes. Et, comme nous utilisons systématiquement Bash, autant l’indiquer au système au début de chaque script, pour être sûr qu’il utilise l’interpréteur associé :

#!/bin/bash

Notez que par le passé, certains préféraient utiliser un en-tête générique, pour indiquer qu’il s’agit d’un script « Shell », sans indiquer d’interpréteur en particulier...

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